Un Kényan de 41 ans, Andrew Wanjala, qui aurait envoyé des photos explicites et des messages de « sexting » à une femme mariée qu’il prétendait être sa petite amie, a été accusé de conduite offensante.
Le tribunal a appris que le 12 novembre 2022, dans la région de Baharini, dans le sous-comté de Turbo, à Eldoret, Andrew Wanjala a utilisé son téléphone portable pour envoyer des n.udes à la plaignante simplement connue sous le nom d’A.W.
Un Kényan de 41 ans, Andrew Wanjala, qui aurait envoyé des photos explicites et des messages de « sexting » à une femme mariée qu’il prétendait être sa petite amie, a été accusé de conduite offensante.
Le tribunal a appris que le 12 novembre 2022, dans la région de Baharini, dans le sous-comté de Turbo, à Eldoret, Andrew Wanjala a utilisé son téléphone portable pour envoyer des n.udes à la plaignante simplement connue sous le nom d’A.W.
La plaignante, mariée et mère de deux enfants, a nié avoir eu une relation amoureuse avec l’accusé.
Elle a réfuté les allégations de l’accusé, qui avait déclaré à la police au moment de son arrestation qu’ils étaient amants.
Les détectives du poste de police de Baharini ont arrêté le suspect après avoir terminé leur enquête et pris son téléphone portable pour un audit médico-légal.
Selon les détectives, l’accusé aurait envoyé des images porn0graphiques à la plaignante via WhatsApp.
Lors de sa comparution, l’accusé a nié les accusations, affirmant que les messages présumés étaient des messages d’amour qu’ils se partageaient en secret en tant qu’amants.
« Je me demande pourquoi mon amante est devenue impolie avec moi au point de m’amener au tribunal alors que nous partagions des messages d’amour en tant qu’amants », a-t-il déclaré au tribunal alors que le magistrat lui disait d’attendre jusqu’au procès, c’est à ce moment-là qu’il le fera contester les accusations portées contre lui.
L’accusation a l’intention de présenter au tribunal six témoins, parmi lesquels le mari de la plaignante et sa fille, qui ont vu par hasard certains des messages et des images que l’accusé avait envoyés à la plaignante.
Le tribunal a libéré M. Wanjala moyennant une caution de 50 000 shillings. L’affaire sera évoquée le 22 janvier 2024.
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